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Fabrice Collet est conseiller en gestion de patrimoine indépendant, fondateur du cabinet Votre Conseil Patrimoine. Ancien ingénieur reconverti en conseiller en gestion de patrimoine indépendant, il accompagne aujourd’hui des chefs d’entreprise et des professions libérales réglementées, souvent en société d’exercice libéral par action simplifiée. Il est spécialisé dans la gestion de la trésorerie, la fiscalité des SCI, la fiscalité du compte titre, ainsi que dans l’utilisation de contrats de capitalisation pour les personnes morales soumises à l’IS.
Ce courtier en placements financiers se distingue par une approche claire et personnalisée, notamment auprès des professions libérales relevant d’un ordre professionnel, comme les notaires, avocats, architectes ou experts-comptables.
Dans cet épisode, Fabrice revient sur l’accompagnement d’une grande société d’exercice libéral par action simplifiée (SELAS) dans le notariat. Forte de sa croissance et de sa notoriété, cette profession libérale réglementée accumule une trésorerie importante sur ses comptes courants professionnels. Le besoin exprimé : optimiser cette gestion de trésorerie sans contrevenir aux règles imposées par leur ordre professionnel.
Les enjeux étaient multiples :
Fabrice commence toujours par une évaluation précise du besoin en fonds de roulement de l’entreprise. Dans ce cas, il a été conseillé de conserver l’équivalent d’au moins six mois de charges fixes sur le compte courant de la SEL, en raison de la nature sensible de son activité et de ses engagements humains et matériels. Ce compte de trésorerie reste donc le socle de sécurité.
Le reste de la trésorerie entreprise, excédentaire, a été alloué en fonction de la durée de placement et du degré de risque acceptable. La priorité : la liquidité, la simplicité, et surtout la conformité vis-à-vis de l’ordre.
Parmi les outils utilisés :
Deux enveloppes ont été envisagées :
Fabrice souligne aussi que la fiscalité du contrat de capitalisation pour une personne morale à l’IS implique un précompte d’imposition annuel basé sur un rendement théorique. Ce calcul complexe est souvent mal compris, aussi bien par les clients que par les experts-comptables, ce qui plaide pour des solutions plus simples.
Pour une profession libérale réglementée exerçant en société d’exercice libéral par action simplifiée, la gestion de la trésorerie exige de trouver le bon équilibre : optimiser, sans risquer de contrevenir aux règles de l’ordre professionnel.
Le compte titre ordinaire s’impose comme un outil central : il combine souplesse, liquidité, fiscalité du compte titre lisible et large choix d’actifs.
Le contrat de capitalisation complète l’approche pour les tranches à horizon plus long. Attention néanmoins à bien comprendre la fiscalité des contrats de capitalisation, notamment pour une personne morale à l’IS.
Le recours à un conseiller en gestion de patrimoine indépendant est clé pour structurer une approche conforme, efficace, et adaptée au profil de chaque SEL. Entre contrats de capitalisation, comptes titres fiscalité, contraintes ordinales et objectifs de rendement, l’accompagnement d’un expert fait toute la différence.
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Investir comporte un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Ce contenu ne constitue pas un conseil en investissement.
Cet article repose sur un podcast enregistré le 20/12/2024. Les informations présentées peuvent faire référence à des produits, services ou données susceptibles d’avoir évolué ou d’être indisponibles à la date de lecture sur Shares Pro.
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Jonathan Kieffer est conseiller en investissement financier, fondateur de Jolka Invest, et également advisor pour Shares. Ancien gérant institutionnel chez LYXOR (devenu Amundi), il a ensuite travaillé sur les programmes de robo-advisor à la Banque Privée Société Générale, puis comme directeur des investissements chez EPSOR. Il s’est ensuite lancé en tant que conseiller financier indépendant, accompagnant des particuliers et des chefs d’entreprise à travers une approche centrée sur la planification financière.
Dans cet épisode, Jonathan partage le parcours d’un quarantenaire salarié d’un grand groupe, en réflexion sur une transition vers le freelancing ou la création d’entreprise. Le besoin exprimé : quitter son emploi tout en assurant la stabilité financière de sa famille (enfants, conjoint, crédits, etc.).
L’accompagnement proposé s’appuie sur une planification financière détaillée :
Le premier travail consiste à construire un tableau prévisionnel dans Excel, détaillant mois par mois les revenus (chômage, activité future, capital disponible) et les dépenses (train de vie, charges fixes). On parle ici de projection financière ou d’Asset Liability Management (ALM) appliqué à la vie personnelle.
Cet exercice permet de définir un planning finance sécurisé sur 18 à 24 mois. Le client est ainsi rassuré sur sa capacité à couvrir ses besoins sans mettre en péril son projet entrepreneurial.
Dans le cas présenté, le client bénéficie d’un chèque de départ (plan de départ volontaire). Jonathan conseille alors l’ouverture d’un PER (Plan Épargne Retraite) afin de bénéficier, par exemple, de l’abattement fiscal retraite 2025, accessible dès cette année-là en cas de versement volontaire.
L’enjeu ici est double :
Dans ce cas, la fiscalité du PER permet une sortie exonérée d’impôt sur le revenu (hors prélèvements sociaux sur les plus-values), ce qui transforme le PER en outil efficace de conseil en investissement financier et de planification financière.
Afin de maintenir ses droits au chômage, Jonathan recommande au client de créer une personne morale (et non une micro-entreprise), typiquement une SASU ou une EURL. Le choix entre EURL vs SASU dépend du projet long terme :
Un arbitrage est parfois fait en deux temps : créer une SASU pour sécuriser le chômage, puis basculer en EURL pour réduire les charges au moment de la rémunération.
Une fois les 18 premiers mois sécurisés, l’épargne restante est ventilée par horizon :
Ces choix sont faits en lien avec la prise de risque, le profil investisseur, et le projet entrepreneurial.
Une fois l’activité lancée et la trésorerie entreprise sécurisée, se pose la question d’investir depuis la société. Jonathan recommande alors :
Cette approche permet d’éviter une flat tax lourde et d’optimiser la fiscalité. Le tout dans une logique de gestion pilotée et d’allocation par duration.
Ce type d’accompagnement s’inscrit sur plusieurs années, avec une approche par abonnement patrimonial. L’intérêt est d’offrir un conseil pour investir adapté à chaque évolution de la vie professionnelle et personnelle.
Le conseiller en investissements financiers (CIF) devient alors un planificateur financier de long terme, capable de répondre aussi bien aux questions de compte de résultat, de PER entreprise, de sarl ou sas, que de conseil en investissement locatif ou ou encore aux aspects réglementaires liés à son statut de CIF.
La planification financière est clé pour passer sereinement d’un statut salarié à un statut d’entrepreneur individuel soumis à la TVA ou de dirigeant de société.
Le PER suscite un avis positif, notamment lorsqu’il est intégré à un projet entrepreneurial.
Le choix entre compte titre ou PEA, compte titre ou plan épargne action, voire contrat de capitalisation ou assurance vie, dépend de l’horizon d’investissement et de la fiscalité visée.
Un bon conseiller en placement financier ou courtier en placements financiers saura orienter vers les bons supports, tout en maîtrisant les subtilités liées à l’abattement fiscal retraite, à la fiscalité des SCI, ou à la fiscalité contrat de capitalisation personne morale à l’IS.
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Investir comporte un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Ce contenu ne constitue pas un conseil en investissement.
Cet article repose sur un podcast enregistré le 20/12/2024. Les informations présentées peuvent faire référence à des produits, services ou données susceptibles d’avoir évolué ou d’être indisponibles à la date de lecture sur Shares Pro.
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Jérémy Dudek est co-fondateur d’IAM Financial Partners, un cabinet indépendant spécialisé dans la gestion financière systématique et la transparisation des portefeuilles. Avec son associé Alexis Sinac, ancien CIO de Yomoni, il applique une approche quantitative et algorithmique pour optimiser l’allocation des actifs de ses clients, principalement des entrepreneurs et investisseurs fortunés.
Le cabinet se distingue par sa capacité à automatiser et digitaliser les processus, de l’entrée en relation jusqu’au reporting, tout en proposant des stratégies d’investissement personnalisées. Contrairement à de nombreux CGP qui couvrent également les aspects juridiques et fiscaux, IAM Financial Partners se focalise exclusivement sur la gestion financière, en collaborant avec des avocats spécialisés lorsque nécessaire.
Le client est un chef d’entreprise ayant bâti un patrimoine de plusieurs millions d’euros grâce à ses activités dans l’hôtellerie et l’immobilier de luxe. Jusqu’ici, ses actifs financiers étaient gérés par sa banque historique, celle qui avait accompagné le financement initial de son activité professionnelle. Désireux de challenger cette gestion et de structurer son patrimoine de manière plus optimisée, il fait appel à IAM Financial Partners pour un audit complet de sa situation.
L’objectif était de répartir son capital en plusieurs compartiments (ou "poches") en fonction de ses besoins de liquidité, de rentabilité et de sécurité :
L’accompagnement du client s’est structuré autour de trois axes :
L’équipe d’IAM Financial Partners a procédé à un audit détaillé et automatisé des actifs du client, en analysant notamment :
Suite à cette analyse, trois compartiments distincts ont été définis pour répondre aux objectifs du client :
L’un des points forts de la stratégie mise en place a été la conception d’un indice boursier sur-mesure pour la poche long terme du client. Pourquoi ? Éviter une surexposition à son propre secteur d’activité, en l’occurrence l’hôtellerie et le tourisme, tout en conservant une diversification globale.
Ce modèle permet au client d’avoir une gestion claire et systématique de son capital tout en s’adaptant à son profil d’investisseur.
Pour tirer parti de cette gestion optimisée, IAM Financial Partners a mis en place un crédit lombard au Luxembourg. Ce mécanisme permet au client d’emprunter une somme d’argent en nantissant son portefeuille financier sans avoir à vendre ses actifs.
Avantages du crédit lombard pour le client :
Avec cette approche, le client conserve son capital tout en bénéficiant d’une capacité d’investissement accrue, ce qui lui permet d’envisager de nouveaux projets sans impacter ses placements financiers.
L'importance d’un audit patrimonial : Même les patrimoines bien structurés peuvent bénéficier d’une optimisation fine pour maximiser la rentabilité et réduire les coûts.
L’avantage de l’approche systématique : Une gestion quantitative et automatisée limite les biais comportementaux et améliore la transparence.
Le crédit lombard comme outil stratégique : Permet de financer des projets sans vendre ses actifs, à condition d’avoir une allocation bien construite.
Grâce à cette stratégie, le client a pu sécuriser son patrimoine, optimiser son exposition aux marchés et accéder à de nouvelles opportunités financières sans compromettre sa liquidité. IAM Financial Partners illustre ainsi l’intérêt d’une gestion financière ultra-personnalisée et transparente.
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Investir comporte un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Ce contenu ne constitue pas un conseil en investissement.
Cet article repose sur un podcast enregistré le 20/12/2024. Les informations présentées peuvent faire référence à des produits, services ou données susceptibles d’avoir évolué ou d’être indisponibles à la date de lecture sur Shares Pro.
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Dans ce nouvel épisode du podcast Entre Pros CGP, Étienne de Saint-Germain, conseiller en gestion de patrimoine chez Sapians, décrypte un cas concret d’accompagnement d’un jeune entrepreneur suite à la cession de son entreprise. Une approche pointue, moderne et agile, qui mêle gestion de trésorerie court terme, structuration via holding patrimoniale et allocation long terme en assurance-vie luxembourgeoise.
Étienne de Saint-Germain est associé au sein du cabinet Sapians, un family office "augmenté", pensé pour démocratiser les meilleures pratiques patrimoniales auprès des entrepreneurs dont le patrimoine est compris entre 1 et 20 millions d’euros.
Appartenant au groupe Ivesta (6 milliards d’euros d’encours), Sapians combine expertise en investissement non coté, accès à des solutions réservées aux grandes fortunes, et outils digitaux pour une gestion patrimoniale fluide et moderne. Leur force ? Adapter les codes du family office à une clientèle d’entrepreneurs en forte croissance.
L’un de leurs clients, un jeune entrepreneur, vient de vendre son entreprise pour un montant global de 5 millions d’euros. Il doit provisionner 2,5 millions d’euros d’impôt à régler dans l’année qui suit la cession.
S’il a déjà lancé un nouveau projet professionnel, il souhaite néanmoins faire fructifier ce capital en attendant l’échéance fiscale, tout en évitant les risques inutiles. Il sollicite donc Sapians pour une stratégie agile de placement court terme, sans négliger une vision long terme pour structurer son patrimoine.
Plutôt que d’avoir recours à un compte à terme bancaire peu rémunérateur, le cabinet Sapians opte pour un compte-titres chez Shares Pro. Grâce à sa souplesse et à son accès direct aux marchés, le compte-titres permet d’investir la trésorerie de manière défensive mais productive.
Allocation choisie : ETF obligataires à faible volatilité, proches de la performance des fonds monétaires et du taux Ester (taux interbancaire européen).
Pourquoi un compte-titres ?
Comme souvent dans les cas de cession d’entreprise, le client a utilisé le dispositif d’apport-cession (article 150-0 B ter du CGI), en apportant ses titres à une holding personnelle avant la vente.
Ce schéma holding lui permet de reporter l’imposition sur la plus-value et de réinvestir de manière proactive via sa société patrimoniale.
Pourquoi créer une holding ?
Reporter la fiscalité
Réinvestir via des fonds ou dans une nouvelle activité
Gérer efficacement la trésorerie à travers un compte-titres ou un contrat de capitalisation
Organiser une allocation patrimoniale diversifiée
Pour son patrimoine de long terme, Sapians a proposé l’ouverture d’une assurance-vie luxembourgeoise, permettant un accès large à tous types de classes d’actifs : actions via ETF, private equity, dette privée, or, immobilier, infrastructures…
Sapians s’inspire des modèles des grands endowments américains (fonds d’universités type Yale ou Harvard), avec une approche fondée sur la décorrélation des classes d’actifs pour une performance résiliente.
L’objectif : maîtriser la volatilité globale tout en maximisant les moteurs de rendement.
Enfin, un PEA a également été mis en place pour tirer parti de son enveloppe fiscale avantageuse, avec des ETF éligibles au PEA couvrant des zones internationales.
Ce cas illustre à quel point une cession d’entreprise peut être le point de départ d’une véritable stratégie patrimoniale structurée, si elle est anticipée intelligemment.
Les 3 conseils clés à retenir pour un entrepreneur :
Ce cas met aussi en lumière les avantages d’une holding patrimoniale : souplesse d’investissement, optimisation fiscale, gestion à long terme du capital, et diversification via des supports comme le private equity, les ETF obligataires ou encore les fonds monétaires.
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Investir comporte un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Ce contenu ne constitue pas un conseil en investissement.
Cet article repose sur un podcast enregistré le 20/12/2024. Les informations présentées peuvent faire référence à des produits, services ou données susceptibles d’avoir évolué ou d’être indisponibles à la date de lecture sur Shares Pro.
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Pour inaugurer le podcast Entre Pros CGP, c’est Jules Rousselet, fondateur du cabinet Alfines Gestion Privée, qui nous ouvre les portes de sa méthode d’accompagnement.
Ancien cadre de la finance, Jules a cofondé Alfines pour répondre aux besoins patrimoniaux spécifiques des chefs d’entreprise, expatriés, cadres dirigeants et sportifs de haut niveau. Son approche se distingue par trois valeurs fondamentales : confiance, transparence et sécurité. Avec son associé Alban Bousquier, il accompagne ses clients tout au long de leur vie patrimoniale, de la constitution à la transmission, en passant par la restructuration du patrimoine.
Simon, 42 ans, divorcé, sans enfant, est cadre dirigeant en Île-de-France. Il dispose d’un patrimoine immobilier avec une résidence principale valorisée à 500 000 €, encore grevée d’un crédit de 400 000 €, et d’un patrimoine financier constitué d’un livret A rempli à 20 000 € et d’un PEA bancaire à 50 000 €.
Conscient du déficit structurel du système de retraite et de son horizon de retraite à 20-25 ans, il souhaite désormais préparer sa retraite sérieusement. Une inquiétude renforcée par l’incertitude fiscale (notamment avec la loi de finances 2025) et un besoin clair : ne pas dépendre uniquement du système public.
Après un audit précis de la situation de Simon, Jules identifie une capacité d’épargne mensuelle de 1 000 € et un PEA sous-utilisé, ouvert uniquement pour obtenir un prêt immobilier. L’occasion est parfaite pour bâtir une stratégie de capitalisation long terme, sans sacrifier la liquidité.
Même si Simon a entendu parler du Plan Épargne Retraite (PER), Jules recommande de ne pas le prioriser. Pourquoi ?
Pour Simon, qui souhaite à la fois préparer sa retraite et conserver une flexibilité, le choix du PEA est évident.
Le PEA de Simon étant rempli de fonds traditionnels peu performants, l’équipe Alfines propose un transfert digitalisé vers un PEA bancaire haut de gamme (partenaire : Shares Pro), tout en conservant l’antériorité fiscale.
Objectif : accéder à une allocation ETF diversifiée et à frais réduits.
Jules construit une allocation 100% ETF adaptée à l’objectif retraite :
L’approche repose sur :
Résultat attendu : un plan de capitalisation robuste, piloté dans le temps, avec liquidité, transparence des frais, et diversification mondiale, le tout dans un cadre fiscal avantageux.
Ce cas illustre parfaitement les enjeux actuels de la planification de la retraite pour des profils de cadres dirigeants :
Le PER n’est pas une solution universelle : il doit être mis en perspective avec la liquidité, la fiscalité future et les objectifs de vie.
Le PEA est un outil puissant s’il est bien utilisé : ETF éligibles, diversification, optimisation des frais, et antériorité fiscale peuvent en faire le meilleur plan d’épargne retraite pour certains profils.
Le rôle du CGP est clé : diagnostic, pédagogie, accompagnement opérationnel, choix des bons partenaires (comme Shares) font toute la différence.
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Investir comporte un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Ce contenu ne constitue pas un conseil en investissement.
Cet article repose sur un podcast enregistré le 20/12/2024. Les informations présentées peuvent faire référence à des produits, services ou données susceptibles d’avoir évolué ou d’être indisponibles à la date de lecture sur Shares Pro.