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Les ETF sont des fonds indiciels cotés en bourse qui répliquent la performance d’un indice. Ils se distinguent par leur transparence, leur diversification et leurs frais réduits.
L’un de leurs principaux atouts dans un PEA est la diversification immédiate qu’ils offrent. Plutôt que de se concentrer sur quelques titres, un ETF donne accès à un large panier d’actions réparties par zones géographiques, secteurs ou tailles de capitalisation. Cette approche réduit le risque spécifique lié à une seule entreprise.
Contrairement à la gestion active, les ETF affichent des frais de gestion généralement inférieurs à 0,5 % par an.
Sur le long terme, cet écart de coût peut se traduire par une performance nette supérieure pour l’investisseur.
Autre avantage : la simplicité. Avec seulement quelques ETF bien sélectionnés, il est possible de construire une allocation mondiale équilibrée couvrant les actions européennes, américaines et émergentes.
Cela permet d’éviter la complexité d’une sélection individuelle de titres tout en conservant un pilotage clair du portefeuille.
C’est ici que les ETF à réplication synthétique entrent en scène.
Grâce à ce mécanisme, certains ETF peuvent suivre la performance d’indices étrangers (comme le S&P 500 ou le MSCI World) tout en restant éligibles au PEA.
Cette éligibilité s’explique par la structure du fonds : même si l’indice répliqué est mondial, l’ETF est domicilié dans l’Union Européenne et investi majoritairement dans des titres européens, conformément aux exigences réglementaires du PEA.
Associer ETF et PEA permet ainsi de conjuguer les avantages d’une gestion passive efficiente avec ceux d’une fiscalité optimisée.
C’est une stratégie particulièrement pertinente pour les épargnants souhaitant bâtir une exposition internationale de long terme, sans sortir du cadre fiscal avantageux du PEA.
Et vous, en tant que professionnel du patrimoine, intégrez-vous déjà cette approche dans vos allocations clients ?
Le partenariat avec Jérémy Barray est non rémunéré.
Investir comporte un risque de perte en capital. Ce contenu ne doit pas être interprété comme un conseil en investissement.

Même si la diversification est un concept bien établi, les dernières années ont montré à quel point les stratégies centrées sur un seul type d’actif peuvent être vulnérables.
Les données convergent : sur le long terme, les portefeuilles répartis entre plusieurs classes d’actifs non corrélées tendent à afficher une volatilité plus faible (tout en gardant à l’esprit que les performances passées ne préjugent pas des performances futures).
Quel rôle les ETF et les matières premières jouent-ils dans cette équation ? Regardons cela de plus près.
Les ETF se sont imposés comme un élément central de la gestion de patrimoine moderne, avec plus de 2,8 Mds € d’actifs sous gestion fin 2024.
Pourquoi leur place est-elle si forte dans les stratégies de diversification ?
Accès large aux marchés
Un seul ETF peut offrir une exposition à des centaines, voire des milliers de titres, allant des actions mondiales à des segments très spécialisés. Cette amplitude permet une diversification immédiate sans multiplier les transactions individuelles.
Efficience des coûts
Les ETF affichent généralement des frais nettement inférieurs à ceux des fonds gérés activement, contribuant ainsi à préserver les performances nettes des clients.
Transparence et liquidité
Les ETF publient leurs positions quotidiennement, offrant une visibilité parfaite sur leur composition. Ils se négocient en continu, comme des actions, ce qui permet d’ajuster les allocations facilement et rapidement.
💡Avec Shares Pro, les gestionnaires de patrimoine accèdent à un univers complet d’ETF, peuvent effectuer des recherches par nom ou ISIN, et passer des ordres directement depuis une interface simple et intuitive.
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Les matières premières occupent une place singulière dans un portefeuille, car leur évolution est souvent décorrélée de celle des actions et obligations traditionnelles.
Comment elles renforcent la diversification :
💡Avec Shares Pro, il est simple de s’exposer à l’or, à l’argent ou au platine et d’intégrer ces stratégies de couverture dans les portefeuilles.
Simplifier la diversification avec Shares Pro
Gérer un mix d’ETF et de matières premières à l’échelle de plusieurs clients peut vite devenir complexe. Shares Pro simplifie nettement ce travail grâce à :
Avec Shares Pro, les gestionnaires peuvent se concentrer sur les décisions stratégiques plutôt que sur les tâches administratives.
La diversification reste la pierre angulaire d’une gestion de portefeuille solide, dans un environnement de marché plus changeant que jamais.
Les ETF et les matières premières offrent des forces complémentaires : les uns apportent de l’amplitude et de l’efficience, les autres renforcent la protection et l’équilibre.
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Investir comporte un risque de perte en capital. Ce contenu ne doit pas être interprété comme un conseil en investissement.

Un ETC ou est un title of creance coté en bourse, émis par un véhicule spécialisé et adossé à l'or physique conservé dans un coffre. Il vise à repliquer le prix spot de l'or de manière quasi 1-pour-1, tout en reprenant les avantages des ETF en matière de transparence, liquidité and of faibles courants frais. L'émetteur dépose l'or en garantie afin de sécuriser l'instrument.
Les ETC or séduisent par leur simplicité d'accès (une seule ligne cotée), leur liquidité en continu, et leurs frais généralement modérés. La détention d'or physique en garantie renforce la sécurité de l'investisseur, tandis que la réplication du prix du métal facilite la exhibition reading.
Même si leur fonctionnement est clair, certains aspects méritent une attention particulière :
Par ailleurs, le detention mode de l'or (alloué ou non alloué), le choice of depositary et la quality of sûretés program (ségrégation, audits) constituant des éléments essentiels de la due diligence pour les professionnels.
Les ETC ou offrent un accès coté, simple et relativement peu coûteux à l'or physique, sans contrainte logistique. Pour des besoins d'allocation spécifiques, ils peuvent constituer un outil d'exposition pertinent, à condition d'évaluer avec rigueur la legal structure, la guarantee policy, moins frais, la devise et l'éligibilité aux différentes enveloppes d'investissement.
Le partenariat avec Jérémy Barray n'est pas rémunéré.
Investir comporte un risque de perte en capital. Ce contenu ne doit pas être interprété comme un conseil en investissement.

Même les investisseurs les plus aguerris peuvent laisser leurs émotions influencer leurs décisions face à l’incertitude. Pour les conseillers en gestion de patrimoine, comprendre la psychologie à l’origine de ces réactions est essentiel pour aider leurs clients à rester alignés sur leurs objectifs à long terme.
Dans cet article, nous explorons comment la finance comportementale éclaire la prise de décision des investisseurs en période de turbulences, et comment Shares Pro aide les conseillers à mieux gérer à la fois les portefeuilles… et les relations.
Lorsque les marchés chutent brutalement, l’instinct prend souvent le dessus. Le cerveau humain est programmé pour éviter la douleur, et les pertes financières déclenchent une réaction neurologique similaire à celle provoquée par un danger physique.
Les travaux du prix Nobel Daniel Kahneman montrent que la douleur liée à une perte est environ deux fois plus intense que le plaisir ressenti pour un gain équivalent – un phénomène connu sous le nom d’aversion à la perte. Ce biais pousse souvent les investisseurs à vendre au pire moment, enregistrant ainsi leurs pertes au lieu d’attendre la reprise.
Un autre piège courant est le biais de récence, qui conduit à accorder une importance excessive aux événements récents. Lors des corrections de marché, les pertes à court terme éclipsent des années de performance positive, entraînant des décisions précipitées qui fragilisent les stratégies de long terme.
Selon une étude menée par Morningstar de 2023, les décisions émotionnelles peuvent réduire les rendements des investisseurs de 1,5 à 2 points de pourcentage par an – un écart souvent désigné sous le terme de “behaviour gap”.
Comprendre ces biais permet aux conseillers d’anticiper les réactions des clients et d’adapter leur communication et leur gestion pour les aider à garder le cap.
Pour le conseiller, rester objectif, juste et impartial demeure fondamental.
La finance comportementale ne consiste pas seulement à comprendre les biais : elle implique aussi une communication capable de les neutraliser.
Les clients qui se sentent informés et accompagnés sont moins susceptibles d’agir de manière impulsive. Des rapports transparents, un accès fluide aux données et une communication cohérente renforcent la confiance, même en période de turbulences.
C’est précisément là que Shares Pro apporte une véritable valeur ajoutée :
En combinant compréhension comportementale et technologie, les conseillers peuvent maintenir la confiance et aider leurs clients à rester fidèles à leur stratégie de long terme.
Les données comportementales montrent systématiquement que c’est la psychologie des investisseurs – et pas seulement les rendements du marché – qui détermine les résultats à long terme.
Ces constats rappellent l’importance d’une gestion proactive et d’une communication constante – deux leviers que les outils digitaux comme Shares Pro permettent de systématiser.
Les conseillers peuvent appliquer les principes de la finance comportementale de trois façons concrètes :
La volatilité des marchés est inévitable – les réactions émotionnelles ne le sont pas. La finance comportementale offre aux conseillers un cadre pour comprendre et gérer la dimension humaine de l’investissement.
En alliant ces insights à la technologie, les conseillers peuvent offrir une expérience d’investissement plus calme et plus disciplinée.
Shares Pro rend cela possible en fournissant aux conseillers comme à leurs clients la visibilité, les données et la confiance nécessaires pour tenir le cap – même quand les marchés tanguent.

Travailler dans une entreprise hybride est une vraie fierté. Cela signifie que nous recrutons sur la base du talent, et non du lieu de résidence. Cela veut aussi dire que nous travaillons avec des personnes venues du monde entier, qui apportent chacune leurs idées, leurs perspectives et leurs façons de penser. C’est ce qui rend chaque journée unique – et, au final, ce qui nous permet de construire un meilleur produit et une meilleure entreprise.
Mais lorsque l’on est répartis sur différents fuseaux horaires et pays, les moments passés vraiment ensembles sont rares. Et quand ils arrivent, ils sont précieux.
Depuis 2020, le télétravail est devenu la norme pour de nombreuses entreprises. Les collaborateurs recherchent plus de flexibilité et de confiance. Une étude récente a révélé que 98% des travailleurs à distance souhaitent continuer à travailler ainsi, d’une manière ou d’une autre, tout au long de leur carrière. Ce mode de travail n’est donc pas une mode passagère – il s’est imposé comme une norme durable.
Chez Shares, nous l’avons adopté dès le départ. Mais un modèle hybride ne garantit pas à lui seul une culture forte. Lorsqu’une équipe est distribuée, il faut créer, volontairement, des espaces où les gens peuvent se connecter. Sans ces moments, on peut facilement perdre de vue la vision d’ensemble.
Nous veillons à ce que notre communication interne soit claire et que chacun se sente connecté à notre mission. Mais il est indéniable que certains échanges en face-à-face restent irremplaçables.
C’était précisément le but de cet offsite.

Cet offsite est tombé à pic, cette année a été la plus intense que nous ayons connue.
Avec le lancement de nos offres Pro et Solutions, notre périmètre s’est élargi, le rythme s’est accéléré, et les enjeux sont devenus plus élevés que jamais.
Être réunis nous a permis de prendre du recul.
Harjas a partagé une rétrospective honnête sur le chemin parcouru : les apprentissages, les défis, les pivots. Puis, Ben et François nous ont présenté la suite et la vision pour l’avenir.
Nous avons également organisé un “Ask Me Anything” en direct avec les fondateurs. Aucune question n’était taboue : les échanges ont été francs sur la stratégie, le business et les perspectives. Cet exercice n’a rien d’exceptionnel, il s’inscrit dans notre culture. Nous le faisons chaque mois lors de nos All Hands, et c’est devenu un pilier de notre manière de travailler. Créer un espace où les conversations ouvertes, même difficiles, ont toute leur place est essentiel. Cela renforce la confiance et donne à chacun la clarté nécessaire pour avancer vite.

Au-delà des produits que nous développons, nous accordons une grande importance à la culture que nous construisons. Nous voulons créer un environnement dont chacun soit fier de faire partie. Cette fierté ne se décrète pas : elle se mérite et se ressent.
On ne peut pas la mesurer, mais elle se manifeste dans les détails.
À Cracovie, nous avons lancé une collection de merchandising en édition limitée pour célébrer l’événement. Dès leur distribution, les t-shirts se sont multipliés autour de nous. Personne n’avait demandé à les porter, tout le monde l’a simplement fait, par envie. Dans les ateliers, au dîner, ou même à mi-chemin sur un mur d’escalade, ils étaient là.
Cela peut paraître anecdotique, mais c’est un signe fort. Les gens se sentent impliqués, responsables et fiers de ce qu’ils construisent. C’est exactement ce que nous recherchons.
Faire venir 100 personnes de près de 20 pays au même endroit demande du travail, du budget, de la coordination et beaucoup de patience. Ce n’était pas simple, mais cela en valait largement la peine.
À Cracovie, nous avons animé des ateliers, tenu des sessions stratégiques, exploré la ville, fait de l’escalade et du karting, pratiqué le yoga et partagé des repas. Des équipes qui échangent peu au quotidien ont enfin eu l’occasion de se parler longuement. Chacun a gagné en contexte, en compréhension mutuelle et en lien humain.
Et certains des moments les plus marquants n’avaient rien à voir avec le produit, ni même avec l’entreprise. Ils comptent pourtant tout autant.
Chez Shares, chaque collaborateur est aussi actionnaire. Avoir du skin in the game change tout : ce n’est pas “juste un job”. À la vitesse à laquelle nous avançons, il est essentiel de prendre plaisir à travailler ensemble !
Un offsite n’est pas une solution miracle, mais c’est une respiration, un moment pour faire une pause et profiter pleinement de la présence des autres.

Merci aux fondateurs, pour avoir soutenu ce projet et lui avoir donné toute son importance.
Merci aux équipes qui ont tout organisé, de la logistique aux contenus.
Et merci à chacun d’avoir contribué à faire de cet offsite un moment inoubliable.

Un ETF obligataire suit la performance d’un indice composé d’obligations souveraines, d’entreprises, à haut rendement, indexées sur l’inflation ou encore thématiques (comme les green bonds). La réplication peut être physique (totale ou par échantillonnage) ou synthétique (via swaps). Dans tous les cas, l’objectif reste le même : se rapprocher au plus prêt de l’indice, tout en maintenant des frais maîtrisés et une transparence claire de l’exposition.
Les principaux avantages
La diversification réduit le risque lié à un émetteur unique, tandis que la cotation en bourse permet d’acheter ou de vendre dès une seule part – là où l’accès à certaines obligations en direct requiert souvent un montant nominal élevé. Les frais courants sont généralement inférieurs à ceux des fonds traditionnels. Enfin, le rendement provient des coupons : ils peuvent être distribués aux porteurs (ETF distribuant) ou réinvestis automatiquement (ETF capitalisant).
Les ETF obligataires constituent une porte d’entrée simple et diversifiée vers le marché obligataire, offrant la souplesse d’ajuster duration et qualité de crédit selon le cadre du mandat. Comme toujours, l’enjeu est d’aligner indice suivi, méthode de réplication, frais et liquidité avec le profil et les contraintes du client.
*Le partenariat avec Jérémy Barray est non rémunéré
Investir comporte un risque de perte en capital. Ce contenu ne doit pas être interprété comme un conseil en investissement.