Pour les clients ultra fortunés, près d’un tiers des établissements affirment que le processus peut durer trois mois ou plus, tandis qu’une faible minorité seulement parvient à le finaliser en moins d’une semaine¹. Dans l’ensemble du secteur, la moyenne reste de deux à trois semaines, avec parfois plus de dix interactions nécessaires avant que le client ne soit pleinement intégré².
L’écart entre ces deux expériences ne relève pas seulement d’une question de rapidité, mais d’un changement profond des attentes clients.
Les investisseurs particuliers français ont été formés par les fintechs à exiger un accès instantané, intuitif et transparent à leur argent. La gestion de patrimoine, souvent confrontée à des besoins clients plus complexes, peine encore à suivre ce rythme.
Au cours des cinq dernières années, l’adoption technologique s’est accélérée dans la gestion de patrimoine, en France comme en Europe.
Malgré les progrès, l’écart entre la gestion de patrimoine et l’investissement grand public reste évident pour les clients :
Les CGP doivent souvent gérer une complexité bien plus importante que les applications d’investissement grand public : régulation stricte, besoins clients sophistiqués, et systèmes existants difficiles à remplacer du jour au lendemain.
Ces contraintes expliquent en partie le retard technologique, mais elles ne changent rien à la réalité : les clients attendent désormais la même rapidité et simplicité qu’ils retrouvent ailleurs.
En simplifiant les processus et en adoptant des technologies plus intelligentes, les CGP peuvent créer une expérience fluide dès la première interaction :
La révolution digitale de la gestion de patrimoine en France est déjà en marche.
Ceux qui sauront offrir la rapidité, la transparence et la personnalisation attendues par les clients ne se contenteront pas de préserver leur base. Ils la feront grandir.
Pour les clients ultra fortunés, près d’un tiers des établissements affirment que le processus peut durer trois mois ou plus, tandis qu’une faible minorité seulement parvient à le finaliser en moins d’une semaine¹. Dans l’ensemble du secteur, la moyenne reste de deux à trois semaines, avec parfois plus de dix interactions nécessaires avant que le client ne soit pleinement intégré².
L’écart entre ces deux expériences ne relève pas seulement d’une question de rapidité, mais d’un changement profond des attentes clients.
Les investisseurs particuliers français ont été formés par les fintechs à exiger un accès instantané, intuitif et transparent à leur argent. La gestion de patrimoine, souvent confrontée à des besoins clients plus complexes, peine encore à suivre ce rythme.
Au cours des cinq dernières années, l’adoption technologique s’est accélérée dans la gestion de patrimoine, en France comme en Europe.
Malgré les progrès, l’écart entre la gestion de patrimoine et l’investissement grand public reste évident pour les clients :
Les CGP doivent souvent gérer une complexité bien plus importante que les applications d’investissement grand public : régulation stricte, besoins clients sophistiqués, et systèmes existants difficiles à remplacer du jour au lendemain.
Ces contraintes expliquent en partie le retard technologique, mais elles ne changent rien à la réalité : les clients attendent désormais la même rapidité et simplicité qu’ils retrouvent ailleurs.
En simplifiant les processus et en adoptant des technologies plus intelligentes, les CGP peuvent créer une expérience fluide dès la première interaction :
La révolution digitale de la gestion de patrimoine en France est déjà en marche.
Ceux qui sauront offrir la rapidité, la transparence et la personnalisation attendues par les clients ne se contenteront pas de préserver leur base. Ils la feront grandir.